Rançons et pacification

Payer une rançon ? Pourquoi  pas… Dans certaines circonstances particulières , pour récupérer un agent par exemple , ou des touristes détournés de leurs parcours et n’ayant pris aucun risque inconsidéré . Mais certainement pas pour du papy en crise de rédemption humanitaire qui installe des pompes à merde en pleine zone bordélique malgré douze avertissements , ou pour des journalistes ambigus qui croient pouvoir copiner avec telle ou telle faction séditieuse  .

Par contre une fois qu’on a payé et récupéré le colis , il convient impérativement de raser le camp de bédouins au napalm en visant large , ou de retrouver les bénéficiaires du virement off-shore pour un entretien amical . Et surtout de le faire savoir .

Plus ça sera fait salement, plus ça vaccinera les suiveurs .

Dans l’ Empire romain , un chevalier romain , du temps où cette qualité était réservée par l’hérédité , pouvait circuler partout sans escorte sans courir le moindre risque . C’était que la plus reculée et sauvage tribu soumise à Rome savait clairement que s’il était molesté sur son territoire l’addition ne serait pas dans ses moyens . C’est de ce genre de règles dont il faut s’inspirer si l’on est un pacifiste authentique .

On enlève peu les ressortissants Russes. Bizarre , hein ? Faut croire que lorsqu’on sait se faire respecter , on est moins attractif .

Une réponse à “Rançons et pacification”

  1. kobus van cleef dit :

    Il me reviens que, dans les 70 80, des ruskof avaient été enlevés au Liban
    L’expérience n’avait pas été renouvelée, des membres du parti politique ou de la milice à l’origine du mic mac ayant été retrouvés après leur disparition
    Dans plusieurs valises

    Il faut noter ici que le KGB avait l’aide bienveillante des syriens, des irakiens et de quelques autres

    J’ignore sur qui les démocraties occidentales pourraient compter aujourd’hui

    Probable sur personne
    Et ça vaudrait mieux, d’ailleurs, plutôt que de s’appuyer sur des planches pourries comme les crevures qu’elles ont mis au pouvoir

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