La France est une marâtre

La France est une marâtre. Elle traîte ses enfants comme des chiens et se prosterne devant ceux des autres. Plus ils sont mauvais, plus elle rampe. Quand elle ne rampe plus, c’est qu’elle tend son cul aux puissances de l’argent . La France est donc devenue une mère maquerelle, soumise aux coups de ses proxénètes, qui se venge sur sa progéniture martyre.

Ce pays finira assassiné par tous les criminels qui voudront bien passer sur cette vieille pute France lui cracher leur purée dans le cul. Ses enfants, nous, ne bougerons pas. Qu ‘elle crève et emporte son ignominie en Enfer.

Il y a quarante ans, Louis Pauwells avait décrit la situation idéologique dominante de la France en la qualifiant de Sida mental.

Cette histoire en est une parfaite illustration , avec la leucémie en plus , si on considère que les flics sont les lymphocytes de la société , les cellules de son système immunitaire. L’organisme France est si malade que non seulement [ses globules blancs] détruisent ses propres cellules quand elles s’emballent, les neutralisent le reste du temps devant les agressions de corps étrangers — virus , microbes  — mais les stimulent quand ils s’attaquent aux globules rouges, les travailleurs , ceux qui apportent l’oxygène au système (globules jaunes d’ailleurs depuis peu) .

Le malade France est condamné, c’est certain, d’autant que la destruction de son système immunitaire s’accompagne de quantités d’autres atteintes à des organes vitaux. Les ordres donnés aux fonctions organiques de se retourner contre le corps social proviennent de plusieurs centres : organe politique , mais aussi organe de la Magistrature , de l’enseignement, des médias.

Tous ne poursuivent pas les mêmes buts : la peste gauchiste n’est pas la vérole néo-libérale — le poison de l’ humanisme dévoyé se croit même l’antidote du poison du capitalisme de connivence. A la fin le résultat est le même : la chair pourrit, la vie flanche, le coma et la gangrène guettent . Tous en crèveront , sauf les virus oligarchiques , ceux du cerveau qui s ‘échapperont à temps en yacht ou en hélicoptère pour contaminer d ‘autre parties du monde tant qu’il y aura des humains à dévorer.

Chaque jour me confirme qu’il faut partir, loin. C’est une question de survie, mentale d’abord…

Si l’on me dit que « c’est partout pareil », alors je choisirais un endroit dont je ne comprend pas la langue, une langue totalement imbitable. En qualité d’étranger, je ne me mêlerai jamais de politique et j’arriverais peut-être à retrouver un semblant de paix intérieure.

Ce pays est irrécupérable. Qu’il s’auto-détruise et qu’on en finisse.