Ruth Elkrief

Elle me fait caguer la grosse dame avec son énorme derche, ses jambes en poteaux, ses yeux en trou de pine, ses bajoues de hamster et ses dents de lapin.

Elle me fait doublecaguer, la maîtresse d’école qui nous cause depuis des siècles comme à des débiles, distribue les bons points et les colles, arbitre les inélégances depuis sa domination, dit le bien dit le mal et sépare les flots d’un index dressé comme Dieu la mère en Magister Dixit sur le vitrail pixellisé de Bouffe ma Merde TV

Elle me fait triplecaguer, la chamelle olivâtre, dressée en vigie d’incendie sur nos terroirs, sévère et cruelle avec le peuple premier et si complaisante avec l’autre qui rêve de la bouffer sauce blanche oignon harissa.

Elle me fait caguer au carré la très républicaine quand ça l’arrange, cosmo-inégalitaire, pluri-libertaire, communautaro-fraternelle et son patron aux trois nationalités, minimum fonctionnel pour qu’un strapontin devienne un tabouret, trois pieds, trois points, trois petits tours et puis s’en va. Pas vu pas pris, je te donne ta licence de laisser faire et tu me fais élire Présidure en échange et je serre la pogne de ta femme de ménage.

Elle me fait caguer au cube, la dame au gros cube, la maîtresse cube, l’icône conne du PAF, la dame pipi trois quatorze cent seize, volume de la conne et volume d’ SFR.

Elle me fait ultracaguer, gigacaguer, teracaguer, la cagole, j’en cague tant des puissance de dix qu’il ne me reste rien pour Sophie Lapix

2 réponses à “Ruth Elkrief”

  1. Isabelle Mazan dit :

    Sacrément bien vu!

  2. Georges Dubuis dit :

    Me too ! Bon retour à toi.

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