« La France sans les musulmans ne serait pas la France »

En réponse à « La France sans les musulmans ne serait pas la France », article d’Abdelkader Abderrahmane .
Nous assistons à la création d’un mythe fondateur , comme chaque nouvelle nation en construit un. Car ne nous trompons pas, le grand remplacement, c’est aussi l’émergence d’une nation parallèle qui s’est donnée pour but de phagocyter la nôtre.

Ce colon nous en confirme les trois mythes qui tentent de donner un socle à cette nouvelle nation et qui ne doivent plus être contestés.

1- Les prétendues Lumières de l’Islam andalou,précurseur de la Renaissance , adossé évidemment à une description calamiteuse de notre Moyen-Age. Ce dernier point , à la différence du premier, n’ayant pas eu à être récemment inventé, la République s’étant occupée depuis longtemps de caricaturer la période.

Bien entendu, cette idéalisation de l’occupation musulmane de la péninsule ibérique est une pure construction politique contemporaine. Ces temps furent abominables pour les chrétiens ayant refusé la conversion forcée, esclavagisés , rançonnés , exterminés sur leurs propres terres. Quant aux Arts, aux Sciences, aux techniques , ce n’étaient qu’ épaves du monde gréco-latin après la tempête. Le peu qui fut sauvé , souvent par des non-arabes, ne pèse rien devant ce que conservèrent les ordres monastiques occidentaux et Byzance .

D’ailleurs, ces temps étaient si paradisiaques que durant huit siècles le peuple espagnol n’eût d’autre souci que de reconquérir son territoire, sa foi et son ordre monarchique .

2- La reconstruction de la France est due à l ‘immigration , les travailleurs africains furent les soutiers des trente glorieuses , aussi laborieux que discrets .
Manque de chance , là on a les chiffres , et clairement cet apport africain a été marginal , tout autant que celui des soi-disant libérateurs de la France de même provenance. Tous furent d’ailleurs payés , et leur installation générationnelle n’était pas contractuelle. En fait, le plus gros des diversitaires actuels n’en descendent pas mais sont arrivés après , hors du contexte « travail », par et pour l’assistanat. On notera que de nos jours personne ne colle plus le mot travailleur à celui d’immigré.

Quant à leur discrétion supposée, c’est oublier la surcriminalité constatée dès les années 30 et la partie continentale des événements d’ Algérie . La seule chose qui fut est en effet très discrète, c’est la reconnaissance du ventre .

3- La beurgeoisie .

Oui , bof , il y a peut-être quelques vraies élites scientifiques ou autres pas totalement truquées, pas forcément revanchardes ou radicalisées. Mais je ne vois pas ce qui est hallucinant dans le fait que la scolarisation de millions d ‘enfants débouche sur un taux de réussite minimal et une minorité pacifiée (ce qui ne saute pas aux yeux) .
Concernant le métissage ancestral des Français de souche , ce n’est plus du mythe fondateur capillotracté , c’est carrément de la merde en barre , cartographie génétique à l’appui. Avant les années 60, la France était une nation ethniquement homogène à 99 % celto-germanique. Les apports en marge berbères ou africains ne sont même pas traçables .

Non seulement la France ne doit RIEN à l’Islam et pas grand chose à l’ Afrique du Nord , mais elle s’est construite CONTRE eux , comme toute l’Europe d’ailleurs .

5 réponses à “« La France sans les musulmans ne serait pas la France »”

  1. Triggered dit :

    Les sources vous les inventez sinon ?
    Continuez a vous complaire dans votre racisme 🙂

  2. marcel dit :

    excellent

  3. ficelle51 dit :

    bravo !

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